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La rage en chiffres

La rage en chiffres

05 octobre 2015
Médical

L’Institut scientifique de santé publique (ISP) a mis à profit la journée mondiale de la rage, le 28 septembre, pour dresser un bilan chiffré de cette zoonose. Aucun cas récent n’est à déplorer en Belgique. Par contre, sept cas mortels ont été recensés en 2014 en Europe, quatre en Géorgie, deux en Fédération russe et un en Espagne.

Pourquoi encore se préoccuper de la rage?

Pourquoi encore se préoccuper de la rage?

28 avril 2014
Médical

[Centre National de Référence de la Rage, Service des Maladies virales, Institut Scientifique de Santé publique] La question est pertinente dès lors que cette maladie mortelle a disparu de nos contrées, même chez les renards. Il serait toutefois malvenu de baisser la garde. En effet, nombreux sont ceux qui, durant les vacances, franchiront nos frontières pour des pays lointains. A ceux-là, il n’est probablement pas inutile de rappeler que la rage est toujours présente en Asie, en Afrique, mais aussi en Amérique du Nord et en Europe de l’Est. Quelques conseils en termes de prévention et de vaccination ne sont donc pas superflus. Ils s’adressent également à ceux qui envisageraient de ramener dans leur valise un animal de compagnie. Published ahead of print.

Méningites à méningocoques de l’enfant en France

Méningites à méningocoques de l’enfant en France

29 aout 2012
Médical

Chez l’enfant, en France, un peu moins de la moitié des cas de méningites sont dus au méningocoque. Cette série de 1.661 cas est l’une des plus importantes en pédiatrie.

Méningococcémie: connaître la prévalence réelle des résistances est essentiel pour établir des recommandations thérapeutiques

Méningococcémie: connaître la prévalence réelle des résistances est essentiel pour établir des recommandations thérapeutiques

21 aout 2012
Médical

Le guide Sanford des maladies infectieuses offre pour chaque pays des recommandations thérapeutiques basées sur les données épidémiologiques les plus récentes. Du moins en théorie, car la dernière édition faisait état d’une bonne sensibilité de Neisseria meningitidis à la pénicilline dans notre pays. Ce qui est loin d’être le cas et a suscité la réaction du Dr Sophie Bertrand, docteur en biologie et chef du service des maladies bactériennes et de son centre de référence pour Neisseria meningitidis à l’Institut Scientifique de Santé Publique (WIV-ISP). Explications.