La médecine (interne) générale suisse cherche à susciter des vocations

« Des défis quotidiens. Y compris la recherche. L’équilibre entre travail et vie privée. La vision d’ensemble. Prendre le temps. Collaborer d’égal à égal… » Tels sont les arguments avancés par les MG et internistes suisses dans une nouvelle campagne - « La diversité par excellence » - destinée à attirer la relève vers leur discipline.

En Suisse, la SSMIG, la Société de médecine interne générale, est une union professionnelle de 7500 membres, dont l’une des préoccupations centrales est de susciter des vocations chez les étudiants et assistants. Parce qu’il faudrait plus spécialistes en médecine interne générale si on veut garantir des soins médicaux de qualité sur l’ensemble du territoire, dit-elle. C’est une « priorité stratégique ».

La campagne qu’elle vient de lancer a pour axe central la diversité du quotidien, à l’hôpital comme en cabinet de famille. Car c’est la branche la plus étendue sur le plan médical : elle possède un spectre clinique qui va de la prévention aux urgences, en passant par les maladies chroniques et la réhabilitation, jusqu'à la médecine palliative. Moralité ? On ne s’en lasse pas ! « Même après des décennies de pratique, la profession reste intéressante, variée et, surtout, intellectuellement stimulante ». 

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