La Flandre fixe des sous-quotas pour freiner les spécialisations populaires en médecine

Le gouvernement flamand a à nouveau établi des sous-quotas pour les étudiants en médecine et en médecine dentaire, indiquent lundi la ministre du Bien-être Hilde Crevits et le ministre de l'Éducation Ben Weyts. Les quotas ont pour objectif d'avoir un nombre suffisant d'étudiants pour les spécialisations les moins populaires.

Depuis 2021, le gouvernement flamand travaille avec des sous-quotas pour compenser la pénurie de médecins généralistes et de gériatres entre autres. Les sous-quotas déterminent un nombre maximum d'inscrits par spécialisation, par exemple en obstétrique (23 pour les étudiants diplômés en 2027), en pédiatrie (30) et en urologie (11).

Aucun quota maximum n'est par contre fixé pour les spécialisations en pénurie, notamment la médecine générale ainsi que la psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent.

LES SOUS-QUOTAS POUR 2027

Vous souhaitez commenter cet article ?

L'accès à la totalité des fonctionnalités est réservé aux professionnels de la santé.

Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.